@NORDIS02 #ARTBRUT #PICARDIE #HAINAUT
#CHIMAY
Sculpteur Art Brut / Raw Art Sculptor. Les outils usagés des vide-greniers m’ont toujours attiré et j’ai souhaité leur redonner une seconde vie. Dans nos campagnes, outils et animaux se côtoient quotidiennement. Récupérer les uns pour les réincarner dans les autres me semble une démarche naturelle. J'aime ce recyclage d'anciens outils. I wished to create a new life for old tools. (E-mail: nordis@laposte.net)
jeudi 2 décembre 2010
vendredi 12 novembre 2010
Exposition à Lesquielles Saint Germain (près de Guise dans l' Aisne) le 27 Novembre 2010
Le(z) Arts Mallettes de Lesquielles Saint Germain organisent une exposition le 27 et 28 Novembre 2010 à la salle polyvalente.
Si vous voulez me rencontrer et voir mes réalisations, je serai présent le 27 toute la journée.
Pour compléter la visite, profitez-en pour visiter Guise et son célèbre familistère à 4 kms environ
http://www.familistere.com/
Mes sculptures
Si vous voulez me rencontrer et voir mes réalisations, je serai présent le 27 toute la journée.
Pour compléter la visite, profitez-en pour visiter Guise et son célèbre familistère à 4 kms environ
http://www.familistere.com/
Mes sculptures
mercredi 3 novembre 2010
dimanche 3 octobre 2010
vendredi 10 septembre 2010
Abbaye de Saint-Michel en Thièrache / Les Confirelles 2010
J'expose le Dimanche 19 septembre dans le cloitre parmi de nombreux artistes.
Mes sculptures
Mes sculptures
vendredi 3 septembre 2010
LE GNOU
Le Gnou (dit Le Gnou de Claire)
Mes autres sculptures
@NORDIS02 #ARTBRUT #PICARDIE #HAINAUT #ARDENNES
Mes autres sculptures
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jeudi 5 août 2010
Festival Féron'arts 2010
Exposition du 12 au 15 août dans le cadre du Festival Féron'arts (le lien figure sur mon site).
Mes sculptures
Mes sculptures
vendredi 16 juillet 2010
Saint-Michel en Thièrache / Un sculpteur à l'Abbaye
A partir d'un article publié le 15 juillet 2010 dans L'UNION Mes sculptures
IL vous accueille dans la petite salle d'exposition à l'entrée de l'abbaye, l'une de ses œuvres à la main. « Alors ? Qu'est-ce que vous voulez savoir ? »
Et voilà Nordis assis auprès de vous, Jean Basquin de son vrai nom, l'œil bleu et vif, les mains sur les genoux, en train de réciter sagement son modeste CV.
Son « pedigree », comme il le dit, tient en une page. Pas de nom de grandes écoles, pas de diplôme « haut de gamme ». Juste des études dans l'électrotechnique, entre Valenciennes et Lille, puis 30 ans à la RATP, en région parisienne, dans le service des études chargé, entre autre, de travailler la partie électrique du matériel roulant neuf. C'est tout. Ni plus, ni moins pour la partie « formation et expériences ».
Le goût de l'art lui vient, d'ailleurs, de ses amis verrier, peintre ou sculpteur métallique, sans doute. Dans la catégorie « hobby » du CV, dans la partie ludique de sa vie, il y a donc ses amis mais également les chasses au trésor qu'il mène inlassablement dans les vide-greniers et les brocantes, depuis des années. Et puis, il y a l'amour de la Thiérache, né de la rencontre avec une épouse saint-michelloise.
L'univers de Jean Basquin est fait de tout ça, de vieux outils, d'instruments de nos campagnes, de boulons, de vis, des ressorts de serpes à élaguer. Tous ces objets qui ont fait le quotidien des agriculteurs d'hier.
Nordis, parce qu'il ne vient pas du sud, les assemble. Et de ce mariage, naissent le plus souvent des vaches et des toros, des dieux et des bêtes sauvages, des totems.
Si Nordis aime la matière, la tronçonneuse et le fer à souder, ce n'est pas, pour autant, pour dénaturer les objets qu'il travaille.
L'artiste se contente de les croiser, de les souder, tout au plus de les polir, mais jamais de les tordre ou de les désolidariser. La pièce reste entière, telle qu'elle a pu servir pour élaguer les champs ou ferrer les chevaux.
Dans ses œuvres, on peut donc aisément reconnaître des taille-haies, des fers à cheval, des pelles à charbon, qui, assemblés à d'autres instruments, prennent vie.
Une seconde vie comme un nouveau nom : la Vhachette, El Toro, NBA, Steak-Frites ou encore La Vache qui rit sont autant de surnoms avec lesquels Nordis a baptisé ses œuvres.
Delphine OLIVA
Du 14 juillet jusqu'au 1er août 2010, dans la salle d'exposition de l'accueil de l'Abbaye de Saint-Michel. http://nordis.monsite-orange.fr/
IL vous accueille dans la petite salle d'exposition à l'entrée de l'abbaye, l'une de ses œuvres à la main. « Alors ? Qu'est-ce que vous voulez savoir ? »
Et voilà Nordis assis auprès de vous, Jean Basquin de son vrai nom, l'œil bleu et vif, les mains sur les genoux, en train de réciter sagement son modeste CV.
Son « pedigree », comme il le dit, tient en une page. Pas de nom de grandes écoles, pas de diplôme « haut de gamme ». Juste des études dans l'électrotechnique, entre Valenciennes et Lille, puis 30 ans à la RATP, en région parisienne, dans le service des études chargé, entre autre, de travailler la partie électrique du matériel roulant neuf. C'est tout. Ni plus, ni moins pour la partie « formation et expériences ».
Le goût de l'art lui vient, d'ailleurs, de ses amis verrier, peintre ou sculpteur métallique, sans doute. Dans la catégorie « hobby » du CV, dans la partie ludique de sa vie, il y a donc ses amis mais également les chasses au trésor qu'il mène inlassablement dans les vide-greniers et les brocantes, depuis des années. Et puis, il y a l'amour de la Thiérache, né de la rencontre avec une épouse saint-michelloise.
L'univers de Jean Basquin est fait de tout ça, de vieux outils, d'instruments de nos campagnes, de boulons, de vis, des ressorts de serpes à élaguer. Tous ces objets qui ont fait le quotidien des agriculteurs d'hier.
Nordis, parce qu'il ne vient pas du sud, les assemble. Et de ce mariage, naissent le plus souvent des vaches et des toros, des dieux et des bêtes sauvages, des totems.
Si Nordis aime la matière, la tronçonneuse et le fer à souder, ce n'est pas, pour autant, pour dénaturer les objets qu'il travaille.
L'artiste se contente de les croiser, de les souder, tout au plus de les polir, mais jamais de les tordre ou de les désolidariser. La pièce reste entière, telle qu'elle a pu servir pour élaguer les champs ou ferrer les chevaux.
Dans ses œuvres, on peut donc aisément reconnaître des taille-haies, des fers à cheval, des pelles à charbon, qui, assemblés à d'autres instruments, prennent vie.
Une seconde vie comme un nouveau nom : la Vhachette, El Toro, NBA, Steak-Frites ou encore La Vache qui rit sont autant de surnoms avec lesquels Nordis a baptisé ses œuvres.
Delphine OLIVA
Du 14 juillet jusqu'au 1er août 2010, dans la salle d'exposition de l'accueil de l'Abbaye de Saint-Michel. http://nordis.monsite-orange.fr/
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